C’est assez simple, au fond. C’est même trop simple, on n’arrive pas y croire. Il y a un système (celui que j’appelle le remplacisme global davocratique) qui livre une race à deux ou trois autres, lesquelles assassinent et violent la première un peu tous les jours, au coup par coup. Et l’idéologie du système, l’antiracisme remplaciste, force le peuple ainsi décimé à se soumettre et à se taire, sans quoi c’est lui qui serait criminel.

De jeunes occupants ayant jugé bon de pique-niquer dans la cathédrale de Pamiers on a décidé, au lieu d’essayer de les en empêcher à l’avenir, de la fermer (sauf pour les offices).

Moi aussi, j’ai un grand projet pour le Louvre : je trouve qu’on devrait en faire un musée (et dans le même esprit convertir le baccalauréat en examen).

Le seul positionnement adéquat à notre situation historique réelle, c’est la posture indigéniste décoloniale. Nous devons libérer la France colonisée, et cela ne se fera pas avec le droit actuel, qui n’est que la feuille de route du génocide par substitution. Je suis pour l’État de droit, mais pas pour le droit colonial génocidaire.

Mesdemoiselles, jeunes Françaises, pendant les vacances, surtout ne retournez pas dans vos familles en Bretagne, en Auvergne, dans la Soule ou la Thiérache : vous savez comment sont les gens, là-bas…

La musique avait tout créé, c’est elle qui a tout détruit.

Le “locutaire”, voilà, le “locutaire” — La Fuly, bizarrement (enfin non, pas bizarrement).

On appelle “écrivain” un intellectuel qui ne sait pas ce qu’il dit.

Moi, ce que je dis, c’est comme le costume mal coupé de Fernand Raynaud. Comme ça ça n’a l’air de rien, d’accord, mais si vous mettez une épaule plus haute que l’autre, si vous penchez fortement la tête d’un côté et si vous vous tenez sur un seul pied, vous verrez que ça tombe admirablement. Il suffit de trouver le bon point de vue.

Le seul positionnement adéquat à notre situation historique réelle, c’est la posture indigéniste décoloniale. Nous devons libérer la France colonisée, et cela ne se fera pas avec le droit actuel, qui n’est que la feuille de route du génocide par substitution. Je suis pour l’État de droit, mais pas pour le droit colonial génocidaire.

Their masterpiece, and that of modern propaganda, is to appear as the good people, the generous people, the champions of Diversity, the adorators of The Other. They destroy the greatest civilization on Earth, they submit thirty nations to the Great Replacement, the Holocaust of the XXIst century (only this time with much better communicants — they have learnt their lesson), they abandon the European Indigenes to hordes of imported barbarians who cut their throats, rape their children, defecate in their swimming-pools and turn their cities into dangerous slums for the permanent costume parade of the conquerors, and WE, the vicims, ARE THE CRIMINALS (read “The Guardian, “Le Monde” or “The New York Times" !), just because we raise a few questions. What they call Diversity is the total eradication of Alterity, for the triumph of the Same in the Slum-World, reduced to its camp factories for the production of the UHM (Undifferantiated Human Matter), at the techno-mechanical sound and trance of commercially Americanized tam-tam : hypertechnological return to the cannibal kettle.