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The history of the world is that of the eradication of elites by the masses for the profit of profit: God, gods, priests, kings, heroes, nobles, poets, bourgeois, the educated class, intellectuals, whites, men, Man.
« Lorsque Vladimir Jankélévitch décide, et proclame, qu’il ne lira plus une ligne de philosophie allemande, ou bien lorsque Isaac Stern refuse, pour le restant de sa vie, de donner le moindre récital ou concert en Allemagne, il ne viendrait à l’idée de personne de crier au racisme. On comprend parfaitement alors, et on admet sans difficulté, l’idée de responsabilité morale s’appliquant à tout un peuple et à toute une nation. L’attitude incontestablement antiallemande de Jankélévitch, de Stern et de bien d’autres ne relève en aucune façon du racisme, elle procède d’un jugement moral et elle a son origine dans des crimes parfaitement reconnus, incontestables. L’animosité des populations du tiers et du quart monde à l’égard des démocraties occidentales, surtout s’il s’agit des États-Unis ou des anciens États colonisateurs, ou qui ont pratiqué l’esclavage, ne relève pas non plus du racisme. Elle procède elle aussi d’un jugement moral, qu’on peut trouver suffisamment ou insuffisamment fondé, mais qui ne refuse nullement les concepts de cause et d’explication. En revanche, à peine fait-on intervenir le racisme, non seulement il devient inutile de désigner toute autre cause éventuelle ou de faire intervenir toute autre explication des animosités considérées, ce serait aussi coupable, et même inadmissible. La victime reconnue d’une hostilité déclarée raciste (à tort ou à raison) est ainsi soustraite au jugement moral, d’une part, et à l’enchaînement des causes et des effets, autant dire à l’ordre logique. Ses torts éventuels ne sont pas des torts, et ceux de ses actes qui auraient pu entraîner l’animosité d’une autre partie ne sont pas des actes, ou du moins ils n’ont pas d’effet, puisque la charge de la cause de l’animosité de l’autre partie est suffisamment assumée par le racisme, le racisme de cette autre partie. Or les groupes, les peuples, les nations, les ethnies, les confréries, l’ensemble des adeptes d’une religion ou d’un système philosophique, sont des entités morales au même titre que les individus. Ils peuvent faire l’objet de jugement moral, leurs actes ont des effets et peuvent être considérés comme des causes. Encore, dans les deux exemples qu’on vient de rappeler, celui de l’Allemagne nazie ou des États colonisateurs et esclavagistes, s’agit-il d’une responsabilité que par métaphore on pourrait dire pénale, entraînée par des crimes, des forfaits, des manquements patents à la justice. Il n’est pas toujours besoin de faire intervenir cette dimension-là. Les animosités entre groupes humains peuvent avoir aussi et ont très fréquemment des origines objectives qui selon la même métaphore relèveraient du droit civil, du droit commercial, du droit des affaires : rivalités commerciales, justement ; conflits économiques, politiques, militaires ; luttes d’influence intellectuelle, culturelle, linguistique ; combat pour le même territoire, ou bien entre les modes d’occupation d’un même territoire partagé, etc. Ajoutons que ces animosités n’ont pas nécessairement leur source dans la haine, le mépris et le sentiment de supériorité ; elles peuvent aussi découler de l’amour, de l’envie, d’un sentiment d’infériorité et de désir : pourquoi l’autre semble-t-il plus intelligent, plus brillant, plus aimé, mieux réussir et mener une vie plus gaie, plus créatrice, mieux libérée des contraintes et des préjugés ? En écrasant tout cela sous le nom de racisme, alors que le racisme proprement dit n’est qu’une cause possible parmi beaucoup d’autres, et n’a qu’une partie des réponses, non seulement on s’interdit de comprendre, mais, l’antiracisme ayant érigé cet interdit en loi, en loi que la plupart d’entre nous avons profondément intériorisée, nous sommes constamment et douloureusement partagés entre cet empêchement de voir ce qui crève les yeux et de dire ce que tout le monde pense, d’une part, et d’autre part la tranquille obstination de l’évidence[1].
« [1] On renvoie ici, à titre d’exemple, à la fameuse (et notoire) « sur-délinquance des jeunes issus de l’immigration », citée plus haut : elle n’a finalement été reconnue presque officiellement (par Le Monde, et encore, entre guillemets…) qu’à partir du moment où vraiment toutes les voies pour empêcher qu’elle ne soit admise étaient épuisées, et lorsque s’obstiner à la nier contre l’évidence quotidienne ne pouvait plus prêter qu’à rire, ou à pleurer. Il va sans dire que la reconnaître, puisque décidément elle n’est plus dissimulable, n’épuise en aucune façon les voies de l’antiracisme à ce sujet, ni n’interdit le recours à la notion de racisme en guise d’explication. Cette reconnaissance ne fait que reculer d’un cran les possibilités herméneutiques de l’antiracisme et la liberté de faire appel à la notion de racisme pour rendre compte de la situation. Certes on ne peut plus, sans une mauvaise foi trop voyante, traiter de “raciste” une personne qui mentionne et admet cette “sur-délinquance”, mais il reste tout à fait loisible (et peut-être légitime, fondé) d’expliquer cette “sur-délinquance” comme un effet du racisme : elle ne saurait en être une cause (puisque le racisme n’a pas de cause), mais elle peut parfaitement en être un effet.
Renaud Camus, Du sens, Éditions du Château
Au moins il y a un progrès, même les médias Égout central ne peuvent plus cacher le chaos dans lequel s’enfonce la pays sous le coup de l’omniprésente violence coloniale occupante. Il n’y a que sur la désignation des responsables que le tabou demeure entier.
Les infirmières, maintenant… Après les médecins et les pompiers, ils attaquent les infirmières à domicile, qui ne peuvent plus se rendre chez leurs malades. Les médias Égout central et ceux du Trottoir le signalent d’une seule voix, mais ils sont d’accord pour n’avoir pas la moindre idée des origines raciales du phénomène. Qui peut bien faire ça ? Mais qui ? Le saint patron de la Presse au temps du génocide par substitution c’est le président Delegorque du procès Dreyfus à Rennes :
« La question ne sera pas posée ».
L’Union Européenne a institué la paix en Europe. Il n’y aurait presque plus de guerres entre les nations du continent. Au lieu de se combattre bêtement les uns les autres, les gouvernements des différents pays consacreraient toutes leurs forces à éradiquer leurs propres peuples.
Les médias Égout Central (et ceux du Trottoir aussi bien), débat (ou “L’Information en France au temps du Grand Remplacement” (de la vérité)) :
— Une femme, un professeur, a reçu dans la cour du lycée une porte jetée du quatrième étage par les élèves.
— Les bâtiments de l’Éducation nationale sont pour la plupart en très mauvais état. Certains ont presque vingt ans ! Les portes tiennent mal. Il faudrait un plan général de rénovation. Mais ça, comme toujours, c’est une question de moyens et de volonté politique.
Qu’est-ce que le génie ?

« Perdre une guerre qui a lieu de peur qu’elle n’éclate » “Ulysse”, de glorieuse mémoire.
Ce sont toujours les lois et dispositions (généralement de droite) officiellement destinées à réduire ou à contrôler “l’immigration” (comme dit le Bloc Génocidaire) qui ont assuré sa formidable expansion et garanti son caractère de Grand Remplacement.
Les médias Egoutcentral ne peuvent plus cacher l’horreur de la colonisation imposée par leurs maîtres du Bloc Remplaciste Génocidaire. Tout ce qu’ils peuvent faire et la présenter comme normale, habituelle, quotidienne. Et de fait, elle l’est. C’est la vie quotidienne en Europe livrée au temps du génocide par substitution.
Les Européens de l’Ouest qui placent la moindre confiance dans leurs gouvernements pour les libérer de l’occupation coloniale meurtrière et du génocide par Grand Remplacement sont semblables à des juifs qui, de l’intérieur du camp de concentration, eussent écrit à Hitler : « Monsieur le Chancelier, Votre Excellence doit savoir… »
« Il y a une utopie, qui consiste à imaginer le dialogue comme la pure rencontre de deux bonnes volontés ; cette utopie est libérale, c’est-à-dire transactionnelle : on y considère la parole comme une marchandise susceptible d’accroissement, de diminution, ou même de destruction, offerte au contrat et à la compétition. Il y a une mauvaise foi du dialogue, qui consiste à sublimer sous les espèces d’une attitude “ouverte”, la secrète et inflexible volonté de rester soi pendant que l’autre concède et se défait. Il y a une réalité du dialogue, qui en fait seulement le protocole d’une certaine solitude. »
Il ne faut pas construire de logement racial, il faut remigrer l’occupant et décoloniser le territoire. L’antiremplacisme est une écologie (c’est même la seule).
Le colonisation imposée est aussi un massacres des paysages et des sites. Elle favorise l’artificialisation galopante et la gestion du territoire comme pur champ d’exploitation.
Il n’y a pas de HLM, ça c’était une autre époque. Il n’y a que des casernes pour l’occupant, construites pour lui par l’occupateur, le Bloc Remplaciste Génocidaire.
2025/07/05 15:45:59
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