Aucune libération ne pourra survenir en Europe occidentale sans la mise hors d’état de nuire du Bloc Génocidaire au pouvoir partout, au service du remplacisme global davocratique, double héritier du nazisme (Umvolkung) et du communisme (Kommunalka).
On comprend mal la haine et la fureur des médias égoutcentral pour ceux du trottoir, dont la timidité madrée est presque aussi cachottière que leurs occultations délibérées : les deux sont d’accord pour cacher tout autant le changement de peuple, la colonisation, le génocide par Grand Remplacement, et pour offrir des explications dérisoires à ce qui en relève exclusivement.
La situation actuelle des médias français face au génocide par Grand Remplacement est à peu près celle de la fameuse visite de la Croix Rouge à Auschwitz en 1943, à ceci près qu’un membre tout à fait mineur de la délégation, la secrétaire d’un secrétaire, demanderait timidement à voix basse (personne n’entend) :
« Et dans le grand bâtiment, au fond, il se passe quoi ? »
« Et dans le grand bâtiment, au fond, il se passe quoi ? »
La situation actuelle des médias français face au génocide par Grand Remplacement est à peu près celle de la fameuse visite de la Croix Rouge à Auschwitz en 1943, à ceci près qu’un membre tout à fait mineur de la délégation, la secrétaire d’un secrétaire, demanderait timidement à voix basse (personne n’entend) :
« Et dans le grand bâtiment, au fond, il se passe quoi ? »
« Et dans le grand bâtiment, au fond, il se passe quoi ? »
On comprend mal la haine et la fureur des médias égoutcentral pour ceux du trottoir, dont la timidité madrée est presque aussi cachottière que leurs occultations délibérées : les deux sont d’accord pour cacher tout autant le changement de peuple, la colonisation, le génocide par Grand Remplacement, et pour offrir des explications dérisoires à ce qui en relève exclusivement.
« Mais, Maître, où a bien pu vous venir le magnifique début du Sixième Nocturne ?
Fauré : — Sous le tunnel du Simplon. »
Fauré : — Sous le tunnel du Simplon. »
Nos génocidaires sont les premiers, dans la corporation, à désirer sincèrement être aimés et à trouver très légitime de l’être. Ils éradiquent une race, ils font disparaître trente peuples, leurs cultures et leurs civilisation, ils remplacent la population de tout un continent, mais ils le font au nom du bien car c’est pour effacer les blancs, qui sont à les en croire la mal absolu, bien que beaucoup d’entre eux soient blancs. Leur façon de parler des blancs (et aussi des juifs, en général) ressemble de plus en plus à la façon dont les nazis parlaient des juifs : vous verrez, quand nous serons débarrassés d’eux tout ira bien, le bonheur pourra commencer.
C’est assez simple, au fond. C’est même trop simple, on n’arrive pas y croire. Il y a un système (celui que j’appelle le remplacisme global davocratique) qui livre une race à deux ou trois autres, lesquelles assassinent et violent la première un peu tous les jours, au coup par coup. Et l’idéologie du système, l’antiracisme remplaciste, force le peuple ainsi décimé à se soumettre et à se taire, sans quoi c’est lui qui serait criminel.
Moi aussi, j’ai un grand projet pour le Louvre : je trouve qu’on devrait en faire un musée (et dans le même esprit convertir le baccalauréat en examen).
Le seul positionnement adéquat à notre situation historique réelle, c’est la posture indigéniste décoloniale. Nous devons libérer la France colonisée, et cela ne se fera pas avec le droit actuel, qui n’est que la feuille de route du génocide par substitution. Je suis pour l’État de droit, mais pas pour le droit colonial génocidaire.