Telegram Web Link
Henri a risqué la mort pour stopper un individu dangereux et armé. Sans son action héroïque, le bilan aurait été plus lourd encore. Avec le #PortdArmeCitoyen, il aurait pu riposter immédiatement pour mettre ce barbare hors d'état de nuire sans risquer sa vie à ce point. #Annecy
https://www.breizh-info.com/2023/06/09/221227/henri-le-heros-au-sac-a-dos-pendant-lattaque-a-annecy/
Le port d'arme citoyen ? Bientôt, vous serez pour.
RIP Ted.
Forwarded from Vincent Vauclin
Peu d'ouvrages demeurent aussi actuels et dérangeants que celui-ci : le manifeste de Theodore Kaczynski, alias Unabomber, intitulé « La société industrielle et son avenir » et publié pour la première fois en 1995. Indispensable pour comprendre ce qui se joue aujourd'hui.

À lire ici : https://dissibooks.files.wordpress.com/2013/09/avenirsocieteindustrielle.pdf
L'idée du #PortdArmeCitoyen fait son chemin et c'est une petite révolution : longtemps caricaturée par une gauche schizophrène - qui le refuse aux Français tout en voulant désarmer la police - elle apparaît comme une solution de bon sens face à l'ensauvagement de la société. 👇🏻
https://fr.irefeurope.org/featured/article/legalisation-du-port-darmes-plus-darmes-a-feu-moins-de-criminalite/
Cette mesure figure au coeur du projet du MND :
➡️ Redéfinition de la notion de légitime défense
➡️ Inscription du droit au port d'arme citoyen dans la Constitution
➡️ Formation et permis aux conditions d'accès strictes (absence d'antécédents psychiatriques et judiciaires)

Découvrez notre dossier spécial : https://www.natdem.fr/post/dossier-le-port-d-arme-citoyen
Édifiant.
Un parc propre au coeur de la capitale, sans toxicos ni surmulots, où flânent étudiants et familles, et où les enfants jouent en toute quiétude sans risquer d'être agressés par des "déséquilibrés-sous-OQTF". Le cauchemar de la gauche, la bête noire de Bruxelles : la Hongrie 🇭🇺
This media is not supported in your browser
VIEW IN TELEGRAM
Après la troublante affaire Prigozhin, retour à la normale dans les rues de Saint-Petersbourg.
Indignation à géométrie variable, essentialisation du statut de victime comme de celui d'agresseur, récupération éhontée et politiquement intéressée, tribalisme assumé... L'affaire de #Nanterre est un condensé de ce que notre société recèle de plus abject, et de plus dangereux.
Encore une belle nuit en France, placée sous le signe du vivre-ensemble et des réussites éclatantes de l'assimilation républicaine. Bravo à Gérald Darmanin pour la gestion remarquable de ces festivités en déployant des policiers en sous-effectif et avec ordre de ne pas intervenir.

Bravo également à Emmanuel Macron qui, depuis l'Accor Arena où il assistait à un concert d'Elton John, n'a certainement pas manqué de compassion envers les quelques riverains importunés par le tapage nocturne et les incendies de leurs véhicules et de leurs services publics.

Bravo enfin à la gauche qui a su faire preuve de dignité en se refusant à toute récupération politique et en n'insistant pas sur le bilan carbone - certes un peu excessif - de cette soirée animée. Une fois encore, c'est bel et bien l'extrême-droite qui a joué les troubles-fêtes !
Ces #émeutes n'ont rien d'une révolte sociale. C'est un mélange de guérilla urbaine, de déprédations enragées et de pillages opportunistes, sur fond de racisme anti-français et d'une sous-culture rap célébrant l'ultraviolence, l'esprit de revanche et le ghetto, le tout accentué par un sentiment d'impunité totale et une émulation tribale entre cités et quartiers médiatisée grâce aux réseaux sociaux.

Peut-on pour autant parler de guerre civile ? Cela présupposerait une guerre entre Français, et donc que les quartiers, les cités et les émeutiers impliqués dans ces razzias se reconnaissent comme tels. Toutes les images de ces nuits d'émeutes témoignent au contraire du processus de sédition communautariste qui a fait de ces territoires de véritables enclaves étrangères où la seule loi qui s'applique est celle des caïds et des dealers, quand ce n'est pas celle d'imams intégristes sous l'influence de services étrangers.

Pétrifiés et débordés par les évènements, les pouvoirs publics paient aujourd'hui quarante années de lâcheté, de déni, de clientélisme et de laxisme. L'État n'apparaît plus en capacité de garantir l'ordre public sur le territoire national ni d'assurer la sécurité des biens et des personnes. Les forces de l'ordre sont certes déployées, mais moralement et physiquement désarmées : elles sont devenues des cibles et leurs uniformes - volés dans des commissariats désertés - des trophées exhibés sur Snapchat.

Tous les moyens disponibles doivent être engagés pour endiguer ces violences et interpeller leurs auteurs avant que le chaos ne s'étende à l'ensemble du pays et que des Français excédés finissent, eux aussi, par contester à l'État le monopole de la violence légitime. Cette crise est un signal d'alarme et peut-être l'ultime occasion de revenir sur ces décennies de laxisme judiciaire et migratoire qui nous ont mené du Grand Remplacement au Grand Embrasement.
2024/05/31 12:14:34
Back to Top
HTML Embed Code: