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Les demi-anti-remplacistes de la droite européenne se fourvoient complètement avec ce projet de “déportation” des migrants criminels. Les migrants criminels ne sont pas du tout le problème, si j’ose dire. Le problème c’est la colonisation de l’Europe, le changement de peuple, le génocide par substitution. Il ne se résoudra qu’avec la décolonisation générale, la remigration. Les migrants criminels feront partie du lot, naturellement.
Une “nation civique” est une contradiction dans les termes — une nation est par définition liée à la nativité, à la naissance, à la filiation, à la lignée, à l’héritage, à la culture et à la transmission , à tout ce qu’on appelait, au temps de la civilisation — avant la double parenthèse génocidaire raciste et antiraciste —, la race.
Évidemment, si l’on ajoute le Bloc Génocidaire à l’occupant colonial, dans la Remigration, je ne peux pas garantir que la France ne passe pas sous la barre des cinquante millions d’habitants — ce qui personnellement ne me gênerait pas du tout, d’ailleurs…
Dans la remigration de l’occupant colonial algérien, le plus nombreux, je crois, on pourrait ajouter en bonus nos juges du Bloc Génocidaire, ou alors nos journalistes, pour le même prix — mais je reconnais que ce serait un peu vache pour l’Algérie…
Mais je ne suis pas du tout xénophobe, moi (ni spécialement démocrate, d’ailleurs…) : au contraire — j’aime tant les étrangers que je souhaite ardemment qu’ils le demeurent, étrangers, et ne soient pas dépouillés de leur étrangèreté.
Incroyable, stupéfiant, une immense victoire de l’antiremplacisme : on vient d’avoir droit sur @franceculture, entre le journaliste des informations et son invitée à un stupéfiant
— Bonjour Madame.
— Bonjour Monsieur.
Mon œuvre n’aura pas été tout à fait en vain.
Aujourd’hui, Sainte Gisèle Pélicot, patronne de la vieille Europe droguée à l’antiracisme autogénocidaire et livrée par ses élus à quiconque dans le monde désire la violer.
Nous ne sommes pas une nation ethnique, nous sommes une race : une race de soldats, de laboureurs, de grammairiens, de courtisans, de lexicographes, de poètes, de gentilshommes, de femmes savantes, de conteurs fleurette, de savants fous, de fils prodigues, de peintres du dimanche, d’enthousiastes enculeurs de mouche, de visiteurs cérémonieux, d’amoureux des fontaines, de prêtres défroqués traînant sur des landes glaciales leur tuberculose et leur rageur amour de Dieu, de géomètres jardiniers, de marchands d’oiseaux, de tailleurs de pierre, de toucheurs de bœufs, de promeneurs solitaires, d’architectes oublieux, de raboteurs de parquets, de métaphysiciens distraits, de porteurs d’eau, de remarqueurs mal embouchés, de buveurs de vin, d’indexistes acharnés, de contemplateurs d’horizons lointains et de fourmis tandis qu’allongés sur des rochers saillants au profond des forêts.
On appelle “autrefois” l’entre-deux-Occupations.
The Great Replacement is not a nazi or a neo-nazi “theory” : the Great Replacement was a nazi PRACTICE (Umvolkung). What Nazism failed to achieve in Eastern Europe, Global Replacism is succeeding in doing in Western Europe.
Chaque fois que vous dites “immigration” pour désigner le génocide par Grand Remplacement, c’est comme si vous en faisiez venir dix mille de plus.
La CAF, c’est la Lebensborn du Remplacisme
« Dear Jean,
« I hope you are well.
« Could you kindly confirm whether you have received my previous email? Please complete the ID verification form at your earliest convenience using your valid drivers licence or passport. Should you have any questions, please don't hesitate to reach out.
« Kind regards,
« Nicole J. (Doyle Clayton) »
..........................
« Dear Mrs J.,
« no, I could not, and will not. It is not in my habit to answer messages from lawyers or robots who call me by my first name (and wrong first name at that) at first encounter and even before that. Frankly, I would rather die.
« Best regards,
« Renaud Camus »
Les Européens d’Europe n’ont de chance d’échapper à la destruction totale de leur civilisation et au génocide par substitution qu’en procédant au tréfonds d’eux-même à un formidable renversement épistémologique. Ils doivent oublier tout ce que leur a appris l’École et tout ce que leur martèlent les médias, et qui n’est rien d’autre pour eux qu’un mode d’emploi du bien-mourir — à commencer par le Dogme imbécile et criminel de l’Inexistence des races, qui ne sert à rien d’autre qu’à les remplacer et éradiquer eux, et eux seuls.
Deuxième version, revue et augmentée.

ANTIRACISTE : qui accepte le Dogme de l’Inexistence des races comme scientifiquement établi. Qui pense donc que les races n’existent pas, et que néanmoins elles sont égales. Qui ne voit pas d’inconvénient à la disparition de telle ou telle puisque de toute façon elles n’existent pas et n’ont même jamais existé. Qui souhaite même cette disparition puisque leur existence prouverait la fausseté du Dogme. Qui néanmoins établit une distinction quant à l’opportunité inégale de la disparition de telle ou telle. — L’antiracisme est l’opinion commune de l’hyperclasse davocratique, remplaciste, publicitaire et génocidaire (parce qu’il est seul à permettre l’interchangeabilité générale du produit de consommation “homme”), de la droite collaborationniste (parce qu’il lui permet seul de survivre en étant acceptée du bout des lèvres par les Industries de l’homme dans le cadre de la gestion davocratique du Parc humain), et, à l’autre bout du spectre idéologique, de la gauche égalitaire ou communiste (parce qu’il est seul conforme à ses idéaux démocratiques, donc égalitaristes, eux-mêmes parfaitement en accord avec les exigences de la Machination managériale cybernétique, la Grande Broyeuse)
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RACISTE. Qui rejette le Dogme de l’Inexistence des races comme sans fondement scientifique, les races, de toute façon, ne relevant que très peu de la science. Qui croit non seulement à leur existence, mais à leur importance capitale et omniprésente dans les affaires humaines. Qui souhaite leur heureuse conservation à toutes, en conformité avec les exigences de la morale, de l’esthétique, de l’écologie et de la biodiversité, et parce qu’elle est essentielle à la résistance contre le Remplacisme Global davocratique et les Industries de la Matière Humaine Indifférenciée. Le racisme est l’opinion commune, mais très diversifiée, des ultimes racistes génocidaires et “scientifiques” et, à l’autre bout du spectre idéologique, des antiremplacistes antigénocidaires en lutte contre le Remplacisme Global et la Destruction des Européens d’Europe (et d’ailleurs).
« Une civilisation qui nie ses fondements pour ne pas être haïe finit toujours par être détruite sans être aimée. » (Cernunos)
2025/07/06 12:50:54
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