Si la guerre qui s’entrevoit était une “guerre civile” il n’y aurait aucune raison de la mener — il suffirait de repeindre les cages d’escalier, comme d’habitude, et d’augmenter le Tribut Borloo.
Ceux qui appellent la guerre qui menace en France une “guerre civile” lui ôtent ce faisant toute raison d’être, puisqu’ils reconnaissent que l’occupant colonial imposé est français. Si nous sommes occupés par des Français, ça va, inutile de s’alarmer (et de s’armer).
Une forme curieuse de guérison est que tant de maux sont nés du traitement, autour de celui qui vous a fait consulter d’abord, et qui demeure, qu’on l’oublie.
Il me semble que de nouveau, dans les images et le bruit de la Fête de la “Musique” à l’Élysée, il y a bien tout : le Petit Remplacement et le Grand, la Transe comme objet de substitution à la Stature (au “St, à l’Estre), la répudiation horrifiée de la Musique, la prolétarisation générale par le truchement petit-bourgeois, le triomphe du T-shirt comme étendard du remplacisme global, l’apothéose de la laideur, de l’inculture et de l’anarchie mais toujours de préférence sur les sites de la beauté, de la culture et de la hiérarchie pour bien marquer leur humiliation et leur éradication, l’Africanisation du monde, et tout spécialement de la France, par le son africain, sans même plus désormais le détour américain, devenu inutile.
On peut dire qu’ils nous ont bien eu, avec leur “fête de la Musique”. Au début j’avais cru qu’il s’agissait de célébrer la Musique. Mais pas du tout, au contraire, il s’agissait de célébrer la Musique, c’est-à-dire le renversement du monde et des mots, la sorosation du Logos, le Grand Remplacement et le Petit, le remplacisme global, l’américanisation de l’Europe par le son et la transe, et bientôt, à travers elle, son africanisation (avec l’islamisme comme bagage cabine).
C’est terrible, j’ai l’impression d’être de plus en plus clair. Et pourtant ce sont les passages inintelligibles, surtout par moi, qui sont de loin les plus intéressants.
Oui, alors ça, « laissons tomber les races trop clivantes », c’est exactement le contraire de ma position. Ma conviction est que le tabou sur les races, le Dogme de l’inexistence des races, est exactement le pilier sur lequel repose en toute impunité l’actuel génocide par substitution des Européens. C’est cela qui les paralyse, cela qui empêche toute résistance de leur part à leur propre destruction, par la peur apparemment insurmontable d’être traités de “raciste”. Or les races, elles, se rient bien de l’interdiction dont elles sont l’objet. Elles n’ont jamais été si actives, si agissantes dans les affaires du monde et de la vie quotidienne, de la rue, des lycées, des quartiers, si déterminantes dans la formation des opinions et des ressentiments, que depuis qu’elles n’existent plus. Sans elles, tout devient inexplicable, et toute action pour rétablir la paix civile est vaine. Aujourd’hui c’est l’antiracisme qui est génocidaire, qui laisse se perpétrer en silence l’éradication des Européens et de leur civilisation. Il a emprunté au vieux racisme une conception pseudo-scientifique de la race, qui n’est pas sans quelque réalité scientifique, semble-t- il, mais infime au regard de tout le reste, la ductilité parfaite du concept de race, sa réalité littéraire, poétique, culturelle, religieuse, etc., dont la puissance herméneutique est sans pareille. Il faut donner un sens nouveau au mot racisme, un sens nouveau et très ancien, antérieure à la catastrophique parenthèse du racisme et de l’antiracisme “scientifiques”. Le racisme nouveau doit être l’amour des races, de toutes les races, et le désir de leur heureuse préservation à toutes, qui sont la diversité du monde. Il ne peut pas y avoir d’écologie antiraciste : ce serait une écologie qui voudrait une seule sorte de chiens, une seule sorte de chats, une seule sorte de salade, une seule sorte de chênes, une seule sorte de laurier, une seule sorte de tout. Il y a une seule espèce humaine, mais il y autant de races qu’il y a d’ancêtres, de mythes, de récits fondateurs et d’épaisseur de temps. Il n’y a que le racisme qui défende la diversité du monde. Et il n’y a que la race, ce mélange de culture, de civilisation, d’atavisme, de religion, de corpus de convictions et de passions, qui explique ce que le Bloc Génocidaire antiraciste et sa grande Presse Égout central nous présentent quotidiennement comme une inexplicable série de faits divers, vols, viols, égorgements, coups de couteau, chaos dans les écoles et dans les hôpitaux, etc. Sans les races, tout n’est qu’hébétude impuissante, organisée pour la gestion génocidaire du parc humain par le remplacisme global davocratique, la Machination de l’espèce.
Aucune libération ne pourra survenir en Europe occidentale sans la mise hors d’état de nuire du Bloc Génocidaire au pouvoir partout, au service du remplacisme global davocratique, double héritier du nazisme (Umvolkung) et du communisme (Kommunalka).
On comprend mal la haine et la fureur des médias égoutcentral pour ceux du trottoir, dont la timidité madrée est presque aussi cachottière que leurs occultations délibérées : les deux sont d’accord pour cacher tout autant le changement de peuple, la colonisation, le génocide par Grand Remplacement, et pour offrir des explications dérisoires à ce qui en relève exclusivement.
La situation actuelle des médias français face au génocide par Grand Remplacement est à peu près celle de la fameuse visite de la Croix Rouge à Auschwitz en 1943, à ceci près qu’un membre tout à fait mineur de la délégation, la secrétaire d’un secrétaire, demanderait timidement à voix basse (personne n’entend) :
« Et dans le grand bâtiment, au fond, il se passe quoi ? »
« Et dans le grand bâtiment, au fond, il se passe quoi ? »